La consommation de poisson diminue le risque d’infarctus du myocarde, d’après une récente étude suédoise. L’effet protecteur des oméga-3 semble en effet supérieur à l’effet toxique du méthylmercure que l’on retrouve dans les poissons (les crevettes, le saumon, le poisson-chat, le lieu jaune en contiennent le moins).